Je ne sais pas si on n’en a pas déjà trop parlé, mais hier quand je suis sorti de la salle j'étais très ému. Je me sentais privilégié d'avoir vu le film.
Paris, le nouveau film de Cédric Klapisch. Trois années après le succès des Poupées Russes, Klapisch revient avec une partie de l'équipe. Le casting impressionnant est parfaitement employé au service du scénario.
C’est la triste histoire d’un jeune homme atteint d’un problème au cœur, il lui reste quelques mois à vivre. On découvre alors un nouveau rapport à la vie qui devient plus précieuse que jamais. Klapisch évoque. Il film des petits bouts de la vie sans jamais trop en dire : il effleure dans une réalisation très précise des moments sensibles de notre vie.
Les images s’enchainent lentement ce qui laisse enfin au spectateur un temps pour réfléchir. C’est sans doute ça aussi le message, une vie trop rapidement jouée à laquelle il veut donner un temps d’arrêt : si la vie va pour notre personnage bientôt s’arrêter, c’est seulement à partir de ce jour qu’il réussi à lui donner un sens.
C’est aussi un parallèle entre plusieurs vies, lesquelles sont toutes marquées par un changement radical. C’est l’occasion pour chacun de prendre un peu de recul, d’essayer de faire le point.
Enfin, un film parfaitement orchestré, une réalisation qui touche par sa justesse, par sa précision. Les images s’enchainent et persuadent car elles s’avèrent chaque fois nécessaires. Ce n’est jamais trop ; il évoque la mort, l’amour comme l’immigration, la pauvreté, la richesse mais il évoque aussi l’ennui, la colère, les injustices, bref il parle de la vie.
Prenez le temps d’aller voir ce film. Ce ne sera surement pas une perte de temps, et peut-être même un moyen d’en gagner un peu. Car prendre le temps de se regarder, ça permet aussi de prendre de l’avance sur les changements à préparer.
THOMAS MOGHARAEI
Paris, le nouveau film de Cédric Klapisch. Trois années après le succès des Poupées Russes, Klapisch revient avec une partie de l'équipe. Le casting impressionnant est parfaitement employé au service du scénario.
C’est la triste histoire d’un jeune homme atteint d’un problème au cœur, il lui reste quelques mois à vivre. On découvre alors un nouveau rapport à la vie qui devient plus précieuse que jamais. Klapisch évoque. Il film des petits bouts de la vie sans jamais trop en dire : il effleure dans une réalisation très précise des moments sensibles de notre vie.
Les images s’enchainent lentement ce qui laisse enfin au spectateur un temps pour réfléchir. C’est sans doute ça aussi le message, une vie trop rapidement jouée à laquelle il veut donner un temps d’arrêt : si la vie va pour notre personnage bientôt s’arrêter, c’est seulement à partir de ce jour qu’il réussi à lui donner un sens.
C’est aussi un parallèle entre plusieurs vies, lesquelles sont toutes marquées par un changement radical. C’est l’occasion pour chacun de prendre un peu de recul, d’essayer de faire le point.
Enfin, un film parfaitement orchestré, une réalisation qui touche par sa justesse, par sa précision. Les images s’enchainent et persuadent car elles s’avèrent chaque fois nécessaires. Ce n’est jamais trop ; il évoque la mort, l’amour comme l’immigration, la pauvreté, la richesse mais il évoque aussi l’ennui, la colère, les injustices, bref il parle de la vie.
Prenez le temps d’aller voir ce film. Ce ne sera surement pas une perte de temps, et peut-être même un moyen d’en gagner un peu. Car prendre le temps de se regarder, ça permet aussi de prendre de l’avance sur les changements à préparer.
THOMAS MOGHARAEI
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